... Bonsoir, chers lecteurs fidèles à ma chronique (bientôt la 200 ème !) qui l'eut crû -ou cuite- comme aurait dit Jeanne d'Arc, soeur de Mireille... Bon, voyons voir : la Clio Williams au 1/18 ème Norev est enfin sortie, je l'ai vue chez un détaillant à Tours au prix de 53 euros, elle semble fort réussie... Le dernier camion -français- de la série Altaya est le Bernard avec sa face style "poste de télévision des années 60" due au styliste Philippe Charbonneaux ("père" de la R8 selon lui, ce que Renault n'a d'ailleurs jamais trop reconnu) ce Bernard est donc le 24è de cette fameuse série "Camions d'Autrefois", le prochain poids lourd français (+ chauvin que moi tu meurs !) sera le n°26, un Willème suivi normalement d'un Unic et un Berliet... J'ai acheté un bouquin sur un sujet que "les moins de cinquante ans ne peuvent pas connaitre", celui des "Constructeurs sans patente", c'est le titre, il est écrit par Dominique Pascal qui a retrouvé des archives incroyables et dans la mesure du possible le pilote/constructeur avec quelques rides en plus (!) quelques exemples : Glasson, BSH, Cottin, Hrubon et j'en passe ; et D.Pascal parle d'un tome 2 sur lequel il travaille déjà, EX-CE-LLENT (32 euros à la Fnac)... par contre j'ai remis dans son rayon le hors-série "Dossier Michel Vaillant" consacré à Alain Prost : j'ai acheté les onze premiers et c'était pour moi un régal de lire ce mélange de BD et de nouvelles inédites sur les célébrités choisies (J.Dean, J.Ickx, Coluche, etc...) là, un dessin plat, sans relief, beaucoup de texte mais pas de scoops, une maquette totalement diffèrente, et un prix revu à la hausse (24 euros, le double (!) pour la présentation "luxe" et 19 pour la moins belle). On sent que le père spirituel Jean Graton a passé la main, son fils Philippe va droit dans le mur (du moins pour les vieux fans comme moi des parutions de Michel Vaillant)... et puis on a appris la disparition de Bernard Clavel, célèbre écrivain dont le moins connu sans doute des bouquins a été longtemps mon livre de chevet (étant adolescent) je parle de "Victoire au Mans" : à lire ou à relire, et à découvrir pour les plus jeunes cette aventure aux 24 heures 1967, on sent l'huile des moteurs, on entend les bruits, du moins c'est comme çà pour moi à chaque fois ! et on participe aux débuts d'un certain Jean Claude andruet sur Alpine... que du bonheur !

Une dernière reflexion avant de vous dire au revoir : j'ai cherché dans toutes mes archives et je suis certain de ce que j'avance : le prénom de Gordini était bien Amédée avec un E au bout et non Amédé comme je l'ai vu sur le capot avant d'une 12 à Aubusson (ou alors Amédéo en italien) je ne sais plus à qui était cette auto, il se reconnaîtra sans doute... (MP mais pas de téléphone, au secours !) @+